MichelIzard Journaliste Fils De Christophe Izard Il a également écrit des romans policiers (comme La mort par pitié et Place aux amateurs) et une biographie de Gilbert Bécaud (en français). En 1974, il débute une brillante carrière à la télévision pour enfants et crée plusieurs émissions populaires telles que L’Ile aux enfants, Brock et Chnock.
MichelIzard - Journaliste TF1. 4 likes. Media/news company
BiographieMichel Izard Journaliste Fils De Christophe Izard - Michel Izard de TF1 est un journaliste bien connu. Publié en 2018 par Michel Publié en 2018 par Michel Skip to
Legrand reporter de TF1, Michel Izard, nous raconte les mystères de l'île aux cochons Planète Actualité Science décalée : ils prévoient une expédition en Antarctique pour tenter de
Aprèsdes études de droit, Christophe Izard, fils d’un avocat renommé, avait entamé une carrière journalistique en chroniquant la vie musicale du tout-Paris. « L’île aux enfants » En 1968, il avait rejoint l’ORTF, la première chaîne de télévision publique, avant de créer, développer et produire « L’île aux enfants » en 1974. Il en écrira non seulement les premiers
IZARD(Michel) : Gens du pouvoir, gens de la terre. Les institutions politiques de l'ancien royaume du Yatenga (Bassin de la Volta blanche). — Cambridge, Cambridge University Press /Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 1985. — 23 cm, 594 p. On se réjouira de trouver enfin accessibles au grand public ces travaux si complets et si précis du spécialiste français
Créateurde "L'île aux enfants", Christophe Izard est mort. Publié le 01 Août 2022 - 11h11.
ChristopheIzard, père de L'île aux enfants, émission phare pour la jeunesse des années 1970, est décédé, ce dimanche 31 juillet, a indiqué Pierre
MartheIZARD : Décès . PEXIORA. Paul René IZARD, son époux ; Chantal TEISSEIRE, Marie-Claude IZARD, ses filles ; Joseph IZARD, son fils et Annie son épouse ; ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants ; Marie GUENAND, sa soeur ; les famille IZARD ; parents et alliés ont la douleur de vous faire part du décès de
ChristopheIzard, père de L'île aux enfants, émission phare pour la jeunesse des années 1970, est décédé dimanche, a indiqué à l’AFP Pierre-Alek Beddiar, responsable d’Osibo
vRKtG. Alors qu'un très bel album* vient de sortir qui rend hommage aux Visiteurs du mercredi, son producteur, créateur aussi de L'île aux enfants, nous a rendu visite. A 79 ans, il nous livre ses secrets de fabrication...Ses créations pour la jeunesse ont enchanté la génération des quadras et des quinquas. De "L'île aux enfants", entre 1974 et 1982, aux "Village dans les nuages", qui se poursuivit jusqu'au milieu des années 1980, en passant par "les Visiteurs du mercredi" et son inoubliable déclinaison festive des "Visiteurs de Noël", Christophe Izard a permis aux jeunes de s'évader, de s'instruire et de se divertir pendant plus d'une a découvert Dorothée et Patrick SabatierSa façon de créer des programmes différenciés entre les classes d'âge ; son refus du 'tout mangas' ; la diversité des intervenants et des fictions se succédant dans ses émissions ; son flair pour lancer de nouveaux animateurs, de Dorothéeà Patrick Sabatier, en font un producteur d'exception dans l'histoire de la recette du Gloubi-boulgaA l'occasion de la sortie d'un magnifique album qui revisite les belles heures des "Visiteurs du mercredi", créés en 1975, et qui firent défiler sur nos petits écrans les belles histoires de Jacques Trémolin, le sourire de Soizic Corne ou les aventures délirantes de "Scoubidou", de "l'Autobus à impériale" et des "Fous du volant", Christophe Izard a accepté de remonter le temps en se racontant devant nos caméras. Où il est question des origines de Casimir... et de Gloubi-boulga. Bon voyage en nostalgie !*Les Visiteurs de notre enfance, de Beddiar et A. Magnier Hors-Collection Inscrivez-vous à la Newsletter de pour recevoir gratuitement les dernières actualités
Impensable. Alors que TF1 diffuse les matchs de la Coupe du monde féminine de football avec le succès que l'on connaît, un sujet du Journal de 13h de Jean-Pierre Pernaut a enchaîné les clichés sexistes ce mardi... Mais que s'est-il passé à la rédaction de TF1 ? C'est ce que de très nombreux Français se demandent après avoir découvert ce 18 juin 2019 un sujet du Journal de 13h de la chaîne consacré à la Coupe du monde féminine de football... Dans ce sujet issu de la pastille L'Œil de Michel lancé par Jean-Pierre Pernaut, des millions de téléspectateurs de la Une ont pu entendre le journaliste Michel Izard prononcer des mots d'un autre temps alors qu'il évoquait la Coupe du monde féminine. Tandis que des images de joueuses étaient diffusées au ralenti, le journaliste commentait avec une tentative de lyrisme "Avec des gestes si délicats, au bout de doigts si fins, on peut comprendre que certains rêveraient d'être à la place de la balle. Mais l'essentiel est ailleurs, dans ce jeu léger de jambes. Pour faire comme les garçons, pour faire du tricot sur la pelouse une maille à l'endroit, une maille à l'envers... Et donner le tournis ou la rage de vaincre, entrer du bout du pied dans la ronde des jongles, numéro d'artiste de la Japonaise Hasegawa, même si la quête de grâce ne fait pas toujours dans la dentelle." Une séquence on ne peut plus étonnante, franchement sexiste pour beaucoup de commentateurs, qui a de quoi étonner au vu de l'exposition offerte à cette Coupe du monde féminine sur la 1re chaîne d'Europe, mais aussi au vu des audiences incroyables qu'elle a enregistrées. De nombreuses personnalités ont fait part de leur étonnement, voire de leur colère, après la diffusion de ce sujet. Ségolène Royal, ancienne candidate socialiste à la présidence de la République, a par exemple réagi "C'est inadmissible. Les athlètes féminines 'font du tricot', c'est bien connu. Affligeant de beaufitude et de bêtise sexiste. Et sur la chaîne qui vient d'annoncer vouloir augmenter le prix des publicités pendant les matchs ! Donc le cours du tricot est à la hausse !" J'ai pas les mots pour dsigner le sujet du JT de Jean Pierre Pernaut sur le foot fminin. On dirait une archive sortie des annes 60, misogyne souhait. Quel malaise Florent Derue florentderue 18 juin 2019 En effet inadmissible. Les athltes fminines font du tricot c'est bien connu. Affligeant de beaufitude et de btise sexiste. Et sur la chane qui vient d'annoncer vouloir augmenter le prix des pub pendant les match ! Donc le cours du tricot est la hausse ! Sgolne Royal RoyalSegolene 19 juin 2019
INTERVIEW - C'est la der des der. Ce vendredi 18 décembre, Jean-Pierre Pernaut présente son dernier journal de 13H sur TF1. Et comme un dernier coup d'œil dans le rétroviseur, à 14h, un documentaire signé de son confrère Michel Izard retrace sa carrière et lui rend on partait à la rencontre d'un autre Jean-Pierre Pernaut ? Pas tout à fait celui que les téléspectateurs retrouvent à la mi-journée derrière leur petit écran. Mais plutôt celui que l'on connaît moins, sans fioriture, celui qui doute depuis plus de trente ans, et essaie de raconter la France telle qu'elle est. Et qui de mieux que Michel Izard, compagnon de route durant toutes ces années à TF1, pour le raconter. "Ce film ne sera pas objectif", prévient d'emblée le journaliste reconnaissable entre tous avec son accent du sud-ouest. Et pour cause... Inutile d'avancer masqué et de faire semblant de vouvoyer Jean-Pierre Pernaut, Michel Izard ne découvre pas son sujet. Il le connaît trop bien. Avec ses acolytes, Thierry Gippet à la réalisation et Bertrand Lachat derrière la caméra, Michel Izard a concocté un documentaire inédit Jean-Pierre Pernaut, une histoire de la télévision… française, au cours de laquelle ils ont suivi "JPP" durant toute une journée, dans l'intimité de la fabrication de son journal. Sans oublier de retracer en parallèle 48 ans de carrière ses débuts à l'ORTF d'Amiens Picardie en 1972, le remplacement de la star Mourousi, l'installation du 13H façon Pernaut et le traitement des grands événements mondiaux. Comment est née l'idée de ce documentaire ? C'est une idée de Thierry Thuillier le directeur de l'information du groupe TF1, ndlr qui cherchait une façon de célébrer la carrière de Jean-Pierre Pernaut. Je m'en suis emparé et j'ai fait un choix un peu radical qui a consisté à n'interviewer que Jean-Pierre. Je n'ai pas voulu faire parler des gens qui le connaissent parce que je craignais de faire quelque chose de trop hagiographique. Mais on a dû changer un peu nos plans parce qu'au départ je voulais l'interviewer en Picardie, chez lui, histoire de le sortir du contexte de TF1, et puis finalement, avec le confinement, nous n'avons pas pu. Nous avons donc décidé de le suivre pendant toute une journée sur la préparation de son journal. Qu'avez-vous voulu montrer dans ce film ? Mon souci était de dévoiler qui il est vraiment. Je travaille avec Jean-Pierre depuis trente ans de façon assez fidèle même si je ne fais plus parti de l'équipe du 13H depuis longtemps. Par honnêteté, j'ai voulu le souligner au début du reportage car le résultat n'est forcément pas le même que si cela avait été fait par des personnes qui le connaissent moins bien. Même lui, du coup, s'est senti en confiance devant la caméra de Bertrand Lachat avec lequel il est également très complice. Du coup, Jean-Pierre était totalement libre, et j'espère que ça se voit. Grâce à cette complicité, je souhaitais aller un peu au-delà du discours qu'il tient habituellement, avec sa façon de parler en forme de bulldozer, où la complexité du personnage n'apparaît pas toujours. Or, il est à a fois plein de certitudes dans ses choix, ses affirmations, mais aussi plein de doutes en permanence, à l'image des gribouillis qu'on le voit tracer pour se donner une contenance lorsqu'il dicte son journal. J'ai été impressionné par cette capacité à renouveler le 13H tous les jours, et de ce fait à le rendre vivant, malgré un canevas qui a peu bougé durant toutes ces années. Michel Izard, journaliste à TF1En faisant ce reportage, avez-vous découvert un autre Jean-Pierre Pernaut que celui que vous connaissez depuis trente ans ? J'ai passé pour la première fois une heure et quart avec lui dans la salle de dictée du journal à côté du plateau où il présente le JT, ndlr et j'ai découvert une chose que j'ignorais, et qui se voit peut-être un peu, c'est qu'à ce moment clé de la dictée de son journal, il le réinvente chaque jour. Je me suis en effet toujours demandé comment il faisait depuis 33 ans, et journaux, pour dire à peu près la même chose sans se lasser, et je l'ai compris à ce moment précis lorsqu'il se met à la dictée, il se met dans l'état d'esprit de celui qui n'a jamais fait le journal. Tous les jours, il va chercher chaque formule, et il avance en doutant. J'ai été impressionné par cette capacité à renouveler le 13H tous les jours, et de ce fait à le rendre vivant, malgré un canevas qui a peu bougé durant toutes ces années. Ce n'est pas une mise en scène, c'est un état d'esprit. Après avoir visionné toutes ces images du 13H, quels sont les moments qui vous ont le plus marqué ? À mon sens, ce sont ses débuts, car après le départ d'Yves Mourousi, Jean-Pierre Pernaut est parti d'une feuille blanche. Son 13H est sorti de nulle part, il a tout inventé. Et pourtant au bout de six mois, dès l'automne 1988, son journal est déjà largement passé devant celui de la 2. Il met ensuite deux ou trois ans à peaufiner la formule, et à partir de ce moment-là , il va la répéter à l'infini, en l'améliorant et en l'adaptant. Autre aspect aussi intéressant, son obsession du détail et son exigence, rien ne lui échappe. On le voit par exemple à la fin d'un reportage sur la chasse où il n'aime pas le passage qui a été choisi et il le dit. Il a un sens des choses que les autres n'ont pas. C'est pour cela d'ailleurs qu'il est si difficile à imiter. Lire aussiCeux qui suivent Jean-Pierre Pernaut vont-ils être surpris par le résultat ? On voit qu'il est sympa, et c'est vrai, mais ce qu'ils vont peut-être découvrir - et c'est ce qui était intéressant à montrer - c'est que c'est un personnage complexe. C'est à la fois une star, ou plutôt une anti-star de la télévision, mais aussi un travailleur acharné. Il est tout le temps en train de bosser. Il est également très humain, et surtout très simple, tout en ayant conscience de sa place et de son rôle. D'ailleurs il a vu le reportage, et il m'a dit 'je suis chauve, ridé, j'ai un gros ventre, mais c'est bien'. Il était content parce que ça le montre tel qu'en lui-même sans fioriture. Ce reportage lui ressemble et ressemble à sa manière de fonctionner jusque dans son côté obtus. Avec ses remarques, qu'il pense être du bon sens, alors que c'est son opinion. Et ça, il n'en démord pas. C'est aussi une des facettes du personnage que je voulais laisser LCI PLAY - Jean Pierre Pernaut, retour sur 33 ans de JTSource Sujet TF1 InfoPour Jean Pierre Pernaut l’aventure continue avec la JPPTV. Il sera également de retour sur LCI, dès le 9 janvier à la tête d’un nouveau magazine. Virginie FaurouxSur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités