Poésielibre / Ma lampe du jour de l'an. Illustrer Cliquez ici pour illustrer ce poème 14 Avis Cliquez ici pour lire ou ajouter un commentaire sur ce poème 5 Vote(s) Cliquez ici pour ajouter un vote à ce poème Vues Imprimer Cliquez ici pour lancer l'impression du poème. Poésie libre / Ma lampe du jour de l'an. Illustrer Cliquez ici pour illustrer ce poème 14 Poésie: un poème par jour ! J'ai plein d'idées à propos de la poésie ( contemporaine, moderne, classique ) : Pour le matin - Un poème par jour dans chaque LeGoncourt du premier roman, le Goncourt de la nouvelle, le Goncourt de la poésie et le Goncourt de la biographie seront décernés le 11 mai au premier jour du déconfinement, plusieurs Bellepoésie pour le jour de l’An 2022. Petite poésie de bonne année simple et voeux amicaux simples. Voici le jour de l’an C’est la nouvelle année Ce soir petits et grands Feront longue veillée Lorsque minuit sonnera Tout le monde s’embrassera. Bonne année, Bonne année à toute la terre Bonne année, Bonne année au monde entier. Etle ciel me ramène une lumière amie. 2008La spirale des ronds de fumée et des âges Le jour de l’an et autres jours, jours après jours. 2009 « Une seconde en plus », un jour, un an de plus Chaque jour de la vie est un moment bonus. 2010Les Vers, les Jours et les Années dans leur spirale Font tournoyer le vivre en superbe cavale Aucours de ses pérégrinations à la 36e édition du Marché de la Poésie entre le 6 et le 10 juin 2019, Gérard Noiret s’est mis à l’écoute des voix qu'il aime et qui l’a Voire de Maël Guesdon, présente une poésie que l’on pourrait qualifier de « poésie de la poésie ». Le sujet de cette poésie serait elle-même, l’expérience de la poési Lepremier jour de l'an Les sept jours frappent à la porte. Chacun d'eux vous dit : lève-toi ! Soufflant le chaud, soufflant le froid, Soufflant des temps de toutes sortes, Quatre saisons et leur escorte Se partagent les douze mois. Au bout de l'an, le vieux portier Ouvre toute grande la porte Et d'une voix beaucoup plus forte Crie à tous vents : Premier Janvier ! Jourde l'an 2022 : la fête en croisière. Si vous souhaitez passer les fêtes de fin d'année autrement, après l'euphorie de Noel, loin du froid rigoureux de l'hiver, offrez-vous une croisière pas chère pour le Jour de l'an et expérimentez une nouvelle manière de passer la soirée de la Saint-Sylvestre. Vous pourrez notamment vous immerger au soleil radieux Petitsmots sur le thème :Noël et Jour de l'an, Modèles de lettres; Modèles de discours; Formules de politesse; Petits mots; Fiches pratiques; Bien écrire; Lettres de motivation; Recherche. 3 155 modèles gratuits disponibles aujourd'hui. Pratique. Consulter la fiche de nos rédacteurs; Cartes; Bien écrire; Petits mots; Fiches pratiques; Conseils PgAnwQ. 27 poèmes <23467Phonétique Cliquez pour la liste complète hypermarché hypermarchés Paramaribo périmer périmera périmerai périmeraient périmerais périmerait périmeras périmèrent périmerez périmeriez périmerions périmerons périmeront permirent premier premier-né première première-née premièrement premières premières-nées premiers premiers-nés primaire primaires primarisa ... Des vers, à loi, rimeur intarissable ? A toi des vers ? C'est un projet de fou ! C'est au désert jeter un grain de sable ; Sur le rocher c'est poser un caillou. N'ai-je pas vu ma muse trop rebelle A mes désirs souvent se refuser ? Or, pour parler ta langue maternelle, Il faut improviser. Improviser, c'est le premier mérite, Le vrai trésor, l'inestimable bien, En notre siècle où celui qui fait vite A plus de prix que celui qui fait bien. Heureux qui sait faire vite et bien faire ! Avec cet art à tout l'on peut viser. De lui naquit ton succès populaire ; Tu sus l'improviser ! Peu d'élus ont ce talent en partage. Ils l'ignoraient, nos tuteurs des trois jours, Oui, de juillet saisissant l'héritage, Ont du torrent si bien réglé le cours. Depuis qu'ils ont remis tout à sa place, Si le pays n'est que plus divisé, C'est qu'oubliant le précepte d'Horace, Ils ont improvisé. Un gros banquier qui ne prête qu'à douze, A, l'an dernier, serré le doux lien. Avant six mois, sa diligente épouse Donne à l'Etat un petit citoyen. Le financier d'abord éclate et peste ; Puis il médite, et bientôt ravisé, Diable, dit-il, ma femme est un peu leste ! Aurais-je improvisé ? » Si le secret de ton art poétique Aux dieux du monde était du moins livré ! Société, mœurs, lois et politique, Tout a besoin d'être régénéré. Des exploitants en vain l'absurde foule Nous dit Le temps peut seul organiser. » — Badauds, arrière ! autour de vous tout croule. Il faut Poèmes de Agénor Altaroche Citations de Agénor AltarochePlus sur ce poème Voter pour ce poème 163 votesEncore un premier jour de l'an Que le temps nous apporte ! Cette date donne l'élan Aux vœux de toute sorte. Puissiez-vous, gais et bien portants, Quand reviendra la fête, En faire encore après cent ans... Oui, je vous le souhaite ! Ménages où l'on voit lié Le printemps et l'automne, Vieux maris, près de vos moitiés Que jeunesse aiguillonne, A bon droit, vous en attendez Fidélité parfaite, Pur amour, serments bien gardés... Oui, je vous en souhaite ! Que de badauds ambitieux, Pour s'enrichir plus vite, Chez nous plongent à qui mieux mieux En pleine commandite ! Toute action pour spéculer Leur est de bonne emplette ; Les dividendes vont grêler... Oui, je leur en souhaite ! La liberté devra beaucoup A la nouvelle Chambre. On va te limer sur son cou Vil carcan de septembre ! Source de salutaires lois, La Réforme complète Même au génie offre des droits... Oui, je vous en souhaite ! Nos diplomates couards et mous, Que partout on brocarde, Au lieu de se mettre à genou, Sauront se mettre en garde. Le coq du peuple souverain Redressera sa crête, Le long des frontières du Rhin... Oui, je le lui souhaite ! On promet des amendements A nos taxes trop dures ; On sape les gros traitements, Les grasses sinécures. L'Amérique sur nos écus N'enverra plus de traite ; Les princes ne quêteront plus... Oui, je vous en souhaite ! Notre théâtre n'est plus veuf Veuf de la tragédie. Il en naît une à l'esprit neuf, A la sphère agrandie. Dumas de sa mémoire l'eût, C'est Ida qui l'allaite, Et l'art en attend son salut... Oui, je le lui souhaite ! Qui trop embrasse mal étreint, Nous dit un vieil adage, Je vais d'un souhait plus restreint Français, vous faire hommage. Par les complots qu'on voit pleuvoir, Puisse dans sa couchette Chacun de vous dormir ce soir... Oui, je vous le souhaite !Mes souhaits de bonne année Poèmes de Agénor Altaroche Citations de Agénor AltarochePlus sur ce poème Voter pour ce poème 162 votes<23467Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Les sept jours frappent à la porte. Chacun d'eux vous dit Lève-toi! Soufflant le chaud, soufflant le froid, Soufflant des temps de toutes sortes, Quatre saisons et leur escorte Se partagent les douze mois. Au bout de l'an, le vieux portier Ouvre toute grande la porte Et d'une voix beaucoup plus forte Crie à tous vent Premier Janvier! 214 poèmes <7891112Phonétique Cliquez pour la liste complète jar jard jarre jarres jarret jarreté jars jouer jouera jouerai jouerais jouerait joueras joueur joueurs jouir jouira jouirai jouirais jouirait jouiras jour jours Jura jura jurai jurais jurait juras ... Nous voilà donc encore une fois en présence, Lui le tyran divin, moi le vieux révolté. Or je suis la Justice, il n'est que la Puissance ; A qui va, de nous deux, rester l'Humanité ? Ah ! tu comptais sans moi, Divinité funeste, Lorsque tu façonnais le premier couple humain, Et que dans ton Éden, sous ton regard céleste, Tu l'enfermas jadis au sortir de ta main. Je n'eus qu'à le voir là, languissant et stupide, Comme un simple animal errer et végéter, Pour concevoir soudain dans mon âme intrépide L'audacieux dessein de te le disputer. Quoi ! je l'aurais laissée, au sein de la nature, Sans espoir à jamais s'engourdir en ce lieu ? Je l'aimais trop déjà, la faible créature, Et je ne pouvais pas l'abandonner à Dieu. Contre ta volonté, c'est moi qui l'ai fait naître, Le désir de savoir en cet être ébauché ; Puisque pour s'achever, pour penser, pour connaître, Il fallait qu'il péchât, eh bien ! il a péché. Il le prit de ma main, ce fruit de délivrance, Qu'il n'eût osé tout seul ni cueillir ni goûter Sortir du fond obscur d'une éroite ignorance, Ce n'était point déchoir, non, non ! c'était monter. Le premier pas est fait, l'ascension commence ; Ton Paradis, tu peux le fermer à ton gré ; Quand tu l'eusses rouvert en un jour de clémence, Le noble fugitif n'y fût jamais rentré. Ah ! plutôt le désert, plutôt la roche humide, Que ce jardin de fleurs et d'azur couronné ! C'en est fait pour toujours du pauvre Adam timide ; Voici qu'un nouvel être a surgi l'Homme est né ! L'Homme, mon œuvre, à moi, car j'y mis tout moi-même Il ne saurait tromper mes vœux ni mon dessein. Défiant ton courroux, par un effort suprême J'éveillai la raison qui dormait en son sein. Cet éclair faible encor, cette lueur première Que deviendra le jour, c'est de moi qu'il ta tient. Nous avons tous les deux créé notre lumière, Oui, mais mon Fiat lux l'emporte sur le tien ! Il a du premier coup levé bien d'autres voiles Que ceux du vieux chaos où se jouait ta main. Toi, tu n'as que ton ciel pour semer tes étoiles ; Pour lancer mon soleil, moi, j'ai l'esprit humain !Satan Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 719 votesProdigue de trésors et d'ivresse idolâtre, La Jeunesse a toujours fait comme Cléopâtre Un pur et simple vin est trop froid pour son cœur ; Elle y jette un joyau, dans sa fougue imprudente. À peine a-t-elle, hélas ! touché la coupe ardente, Qu'il n'y reste plus rien, ni perle, ni jeunesse Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 136 votes<7891112Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z